Investir dans l’immobilier locatif, quel intérêt ?
Avoir un toit ou dormir, se mouvoir à sa guise, avoir son propre espace et ne pas se sentir envahit est un besoin physiologique que tous les êtres vivants ont en commun. Cela permet de se sentir en sécurité et à l’abri de tout danger. Il va donc de soi que le besoin d’habitation est toujours présent dans toutes les sociétés humaines car avec l’accroissement des populations, la demande de logement augmente aussi. Il faut donc exploiter des espaces pour construire des habitations ce qui non seulement fait du bien au promoteur, aux familles mais aussi à la société. Alors investir dans l’immobilier qui plus encore l’immobilier locatif est un excellent placement. Ce type de financement renferme tellement d’avantages que beaucoup se lancent dans le domaine.
Les avantages d’investir dans un bâtiment locatif
La construction d’un bâtiment locatif permet d’avoir des allègements fiscaux. Selon qu’il soit neuf ou ancien, les autorités accordent aux promoteurs des réductions sur le paiement d’impôts. Ainsi ce dernier n’a pas trop de souci à se faire sur la question de son revenu.
Par ailleurs ce type d’investissement est une garantie pour le bailleur d’avoir un patrimoine sûr et solide pour ses descendants. Le bâtiment étant un bien qui prend de la valeur au fil des années, il assure à ses enfants et petits-enfants de bénéficier de richesses de génération en génération si ce dernier est bien sûr géré de manière stratégique.
D’un autre côté ceci peut être perçu comme un retour sur investissement. D’autant plus que à travers les payements de loyer des locataires, le bailleur est assuré d’avoir une source de revenu stable et sur le long terme qui peut lui de subvenir aux besoins de sa famille notamment le financement des études de ses enfants et pourquoi pas lui permettre d’investir encore ailleurs et d’acquérir d’autres richesses. Aussi cette source de revenu sera un moyen de préparer sa retraite quand on voit en France le climat politique sur la question des pensions retraites.
